Maladresse juvénile.
Je ne ne vais que dans une seule boîte de nuit.
Dans mon imaginaire, ça a toujours été l'antithèse d'un concert, où le public est plus important que la musique, simple habillage sonore d'une scène nocturne où chacun se perd dans un flux continu d'anonymats. Des garçons animaux, des infrabasses gerbantes, des filles dévergondées, des raisons qui se perdent. J'assimile ce lieu à un grand forum de la lie humaine, où le mec avec sa voiture tunée et sa casquette quart-vissée sur crâne rasé à l'effigie de son code postal part danser sur ce que l'on peut donner de plus horrible dans la musique électronique.
À vrai dire je ne m'y connais pas et je me trompe sûrement, je le sais, je l'imagine, mais je crois que ce n'est pas un manque dans ma vie même si ça pourrait s'apparenter à du snobisme.
Je m'en fous, pourquoi aller en boîte de nuit quand on à ça? Ou ça :
Metropol by Christoph Andersson
(via pouledor)
La seule boîte de nuit que j'ai fréquentée de ma vie se trouve dans ma chambre et on y est seul, sans artifices, sueurs, ni lumières épileptiques. J'y retourne presque tous les jours et ça me suffit amplement pour ne pas désirer en visiter d'autres.
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